Mois : octobre 2025

Nassira Kondé dans la “Team Barbie” : quand le rugby féminin explose à Bordeaux 

Posted on by sheplayzz

Le rugby féminin continue de franchir des barrières et de conquérir le cœur du public. Aujourd’hui, une nouvelle étape symbolique est franchie avec l’annonce officielle de l’intégration de Nassira Kondé, centre incontournable de l’équipe de France et ancienne joueuse du Stade des Lionnes Bordelais, dans la collection “Team Barbie” de Mattel. 

Une poupée, un message fort

La poupée à l’effigie de Nassira Kondé n’est pas seulement un jouet : elle est porteuse d’un message puissant. En associant son image à celle de Barbie, Mattel souhaite encourager la confiance en soi, la diversité et le dépassement de soi, des valeurs incarnées par la championne française. “Team Barbie” ne se limite pas à célébrer l’apparence, mais vise à souligner les qualités humaines et sportives, telles que la détermination, le travail d’équipe, et la passion.

Pour Nassira, cette reconnaissance est aussi une fierté personnelle et un engagement : “Être choisie pour représenter le rugby féminin dans ce projet mondial est une énorme responsabilité. Je veux montrer à toutes les jeunes filles que peu importe d’où elles viennent ou à quoi elles ressemblent, elles peuvent accomplir de grandes choses, sur le terrain comme dans la vie.”

Le projet “Team Barbie” : une campagne internationale

Lancée par Mattel, “Team Barbie” est une initiative ambitieuse qui rassemble quatre grandes figures internationales du rugby féminin. Outre Nassira Kondé, la campagne met en avant :

  • Ilona Maher (États-Unis), connue pour son agilité et son engagement dans la promotion du rugby à sept ;
  • Portia Woodman-Wickliffe (Nouvelle-Zélande), superstar du rugby à sept et multiple médaillée olympique, incarnation de la puissance et de la vitesse ;
  • Ellie Kildunne (Royaume-Uni), jeune espoir reconnue pour son esprit combatif et son impact sur le jeu.



Week-end contrasté pour les sportives bordelaises : entre espoirs et désillusions

Posted on by sheplayzz

Du rugby au football en passant par le basket et le water-polo, les équipes féminines bordelaises ont vécu un week-end intense, marqué par des performances encourageantes mais aussi quelques revers frustrants. Si l’USB Bordeaux a brillé en Élite de water-polo avec une large victoire, les Girondines du football et les Louves du basket ont cédé face à des adversaires. De leur côté, les Lionnes du Stade Bordelais, malgré une belle opposition, ont chuté face à Toulouse pour l’ouverture de la saison d’Élite 1.

🚍Girondins de Bordeaux: un retour à vide pour l’équipe féminine ⚽

ALC Longvic 2 – 1 Girondins de Bordeaux

Ce dimanche 12 octobre à Longvic, les Girondines sont passées tout près de s’imposer face à Longvic, mais ont finalement cédé 2-1 lors de la 6ᵉ journée de D3F. Une défaite qui laisse un goût amer, compte tenu du scénario du match.

Le déroulé du match

Dès le coup d’envoi, les Bordelaises affichent leur ambition de prendre le jeu à leur compte, se montrant agressives et bien structurées. C’est Claire Renard qui ouvre le bal avant la pause en marquant un but, sur un joli mouvement collectif concrétisé entre les lignes. 

Mais le scénario change radicalement au retour des vestiaires. Longvic resserre ses lignes, hausse l’intensité dans les duels et exploite un moment de flottement dans la défense girondine pour revenir au score 1-1. Dominés en seconde période, les Bordelais cèdent finalement en toute fin de rencontre, lorsque la formation locale inscrit le but décisif.

Luna Berthe, joueuse milieu de terrain, interrogée après la rencontre, n’a pas caché sa frustration : « On va avoir pas mal de regrets sur ce match ».  

Les Girondines tenteront de rebondir à domicile le 9 novembre prochain face à Cannes, lors de la 7ᵉ journée de D3F. Un match important pour repartir de l’avant et confirmer les bonnes intentions aperçues à Longvic.

🚍Lionnes vs Toulousains, un match sous tension 🏈

Stade Toulousain 29-19 Lionnes du stade Bordelais 

À Toulouse ce dimanche 12 octobre, le coup d’envoi de la saison 2025‑2026 de l’AXA Élite 1 féminine est donné dans la Ville Rose à 18h, avec un choc au sommet entre le Stade Toulousain et le Stade Bordelais. Cette confrontation avait déjà une saveur particulière : elle s’annonce comme le remake de la finale nationale remportée par Bordeaux la saison passée.

Un choc en lever de rideau… sous les projecteurs

Ce dimanche 12 octobre, la saison d’Élite 1 féminine a démarré fort avec un affrontement très attendu entre le Stade Toulousain et les Lionnes du Stade Bordelais. Programmée en lever de rideau du match de Top 14 masculin entre les deux mêmes clubs, la rencontre a bénéficié d’une exposition médiatique exceptionnelle. 

Fait rare dans le rugby féminin hexagonal, le match a été diffusé en clair sur Canal+, illustrant une volonté affirmée de mettre en lumière la discipline dès l’ouverture du championnat.

Absences de marque malgré un jeu dynamique 

Parmi les Bordelaises, Justine Pelletier, fidèle à son rôle de chef d’orchestre au poste de demi de mêlée, a dynamisé le jeu bordelais avec une rapidité d’exécution précieuse autour des rucks. Elle a notamment initié plusieurs séquences offensives qui ont mis à mal la défense toulousaine.

De son côté, Sarah-Maude Lachance a inscrit un essai en fin de première période, concrétisant une belle combinaison des trois-quarts et permettant à Bordeaux de rester dans la course.

Enfin, Joanna Grisez, repositionnée au centre pour ce match, s’est distinguée par plusieurs percées tranchantes, dont une qui a failli aboutir à un second essai en fin de rencontre.

Malgré le prestige de l’affiche, les deux clubs ont dû composer avec des effectifs diminués. Plusieurs internationales, encore en phase de récupération après la Coupe du monde, étaient absentes. Un contexte qui a pesé sur les intentions de jeu, nombreux sont ceux qui ont regretté que ce choc ne puisse se jouer dans les meilleures conditions.



🏠 Waterpolo: Bordeaux – Taverny, large victoire des Bordelaises pour ouvrir la saison 🏊‍♂️

l’USB Bordeaux 26-12 SN Taverny

Samedi soir, à la piscine Judaïque de Bordeaux, les équipes féminines de l’USB Bordeaux et du SN Taverny se sont affrontées pour le lancement de la saison en Élite. Un choc attendu, tant pour les joueuses que pour les supporters, qui a tenu ses promesses en intensité… mais aussi révélé une supériorité claire du camp bordelais. Score final : 26 à 12 pour Bordeaux. 

C’était le tout premier match à domicile de la saison pour les Bordelaises. L’enjeu était double : lancer idéalement la saison devant son public, et affirmer sa place parmi les grandes équipes du championnat Élite féminin.

De leur côté, les joueuses de Taverny espéraient contenir les assauts girondins et capitaliser sur leur expérience collective. Mais dès les premières minutes, les intentions offensives bordelaises ont mis à mal la défense adverse.

Une domination sans appel

Le score parle de lui-même : 26 buts inscrits contre 12 encaissés, soit une victoire large et maîtrisée. Bordeaux a rapidement pris l’ascendant dans le match, imposant un rythme très soutenu, avec des attaques placées rapides et des transitions éclairs.

Les buteuses bordelaises se sont relayées avec une efficacité impressionnante, exploitant la moindre faille. Dès la mi-temps, l’écart était déjà conséquent, et malgré quelques sursauts de Taverny dans le troisième quart, la tendance ne s’est jamais inversée.

Le prochain match aura lieu le 1er novembre en extérieur contre Grand Nancy AC.

🚍 Basket-ball: Les Louves s’inclinent face à Limoges 🏀

Limoges 63-55 Les Louves

Ce week-end, les Louves ont subi une défaite contre Limoges sur le score de 55 à 63. Si le résultat final ne penche pas en faveur des Bordelaises, plusieurs joueuses ont montré un, laissant entrevoir du potentiel pour la suite.

Déroulé du match

Le match a démarré sur un tempo élevé. Clémence Dubrasquet, meneuse de jeu et métronome de l’équipe, a tenté de poser le rythme et d’organiser les premières offensives bordelaises. Bordeaux s’appuie sur sa défense et parvient à contenir Limoges pendant le premier quart-temps.

Mais peu à peu, Limoges impose son rythme, notamment dans les transitions rapides. Le deuxième quart-temps est plus compliqué pour les Louves : pertes de balle, maladresses autour du cercle, et un manque de mobilité offensive. Malgré cela, Alexia Lacaule, toujours dynamique, essaie de relancer le jeu en apportant sa vivacité et son énergie sur les lignes arrières.

Amélie Guillon, très présente, bataille pour prendre des rebonds offensifs et inscrire quelques points importants. Anaïs Courta, plus en retrait en début de match, entre progressivement dans la partie avec de solides efforts défensifs. À la mi-temps, les visiteuses mènent avec quelques longueurs d’avance, mais Bordeaux reste dans le match.

Au retour des vestiaires, Bordeaux tente de relancer la dynamique. Linda Ndoli, pivot imposante, s’illustre par plusieurs rebonds défensifs et une présence dissuasive dans la peinture. Les Louves gagnent en agressivité défensive, comme en attaque, sous l’impulsion de Dubrasquet qui tente de redonner du rythme et de la cohésion au groupe.

Cependant, Limoges résiste bien, et ne laisse pas les Bordelaises revenir totalement dans la partie. Dans le dernier quart, malgré des efforts sérieux et une tentative de remontée initiée par Lacaule, Bordeaux ne parvient pas à retourner la tendance. Les ratés dans les moments clés et quelques fautes défensives coûteuses finissent par donner à Limoges une marge suffisante pour sécuriser la victoire.

Retrouvez les Louves le 25 octobre contre US Le Poinçonnet.





 Emma Coudert: nouvelle stratège des Lionnes du Stade Bordelais

Posted on by sheplayzz

Discrète en dehors du terrain, mais redoutable entre les lignes, Emma Coudert, 26 ans, incarne cette nouvelle génération de joueuses du rugby féminin français qui allient intelligence de jeu, précision technique et lucidité stratégique. Originaire d’Ussel, en Corrèze, la jeune demi d’ouverture s’est imposée au fil des saisons comme l’une des meneuses les plus prometteuses du rugby tricolore.


Formée à l’ASM Romagnat, elle découvre très tôt le haut niveau et s’affirme rapidement par sa vision du jeu et son sens du timing. En 2022, elle rejoint le Montpellier Hérault Rugby au poste de demi d’ouverture, club phare du rugby féminin, pour franchir un cap dans sa carrière et poursuivre ses études dans un cadre propice à la performance. À Montpellier, elle affine son jeu, apprend à diriger une ligne d’attaque et s’impose comme une voix écoutée du vestiaire.

L’intelligence du jeu au service du collectif


Sélectionnée à plusieurs reprises avec le XV de France féminin, Emma Coudert confirme tout le potentiel que les observateurs lui attribuent. La même année, elle décroche un titre international en remportant le Championnat du monde militaire avec la sélection française. Une expérience marquante qui renforce son leadership et sa maturité sportive.

Récemment annoncée du côté des Lionnes du Stade Bordelais, Emma Coudert pourrait bien apporter à la formation girondine ce mélange rare de calme, de lecture du jeu et de créativité, des qualités précieuses dans les moments clés d’une saison. Une chose est sûre : son profil complet en fait une pièce maîtresse de l’avenir du rugby féminin en France

Infos pratique

Retrouvez Les Lionnes du Stade Bordelais face à Toulouse ce dimanche 12 octobre au stade Ernest Wallon à Toulouse. Le match sera retransmit en direct sur Canal+.

Bordeaux, nouvelle place forte du sport féminin

Posted on by severine.admin

Le sport féminin prend une nouvelle dimension à Bordeaux. Ce mercredi 1er octobre, cinq clubs féminins de haut niveau se sont réunis pour un Media Day inédit, marquant une étape clé dans la visibilité des sportives de la métropole. L’événement a mis en lumière les ambitions, les réussites mais aussi les difficultés rencontrées par ces équipes qui font rayonner le sport féminin en Nouvelle-Aquitaine.

Un Media Day pour unir les clubs et renforcer la visibilité

Organisée sous l’impulsion du collectif TogetHer et soutenue par Sheplayzz, la conférence de presse a rassemblé des clubs emblématiques :

  • Les Boxers de Bordeaux (hockey sur glace),
  • Les Burdis (volley-ball),
  • Les Lionnes (rugby),
  • Les Louves (basket-ball),
  • Le club de Water-polo USB.

L’objectif était clair : donner un coup de projecteur au sport féminin bordelais, créer des passerelles entre les disciplines et offrir aux médias locaux un accès privilégié aux sportives et à leurs histoires.

Bordeaux, un territoire dynamique pour le sport féminin

Avec plus de 39 % de licenciées sportives en Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux s’impose comme une région motrice dans le développement du sport féminin. Pourtant, les difficultés persistent : manque de financements, déplacements coûteux, infrastructures limitées, ou encore inégalités de moyens par rapport aux équipes masculines.

Malgré cela, les sportives bordelaises affichent des ambitions fortes. « Nous avons autant de palmarès que les hommes, mais pas les mêmes moyens, ni les mêmes investissements », a rappelé une dirigeante lors de la conférence.

Des retombées médiatiques encourageantes

La presse a répondu présente, avec une page entière dans Sud Ouest, des interviews sur ICI Gironde et des relais sur d’autres médias régionaux. Les réseaux sociaux, notamment LinkedIn, ont aussi largement amplifié la visibilité des clubs grâce au photocall et aux contenus partagés.

Ces résultats confirment qu’un événement centré sur le sport féminin intéresse et mobilise. C’est aussi une preuve supplémentaire que la médiatisation est un levier puissant pour attirer des sponsors et créer un écosystème durable autour des sportives.

Sheplayzz, la plateforme qui accélère le mouvement

Chez Sheplayzz, nous sommes convaincus que cette dynamique doit s’inscrire dans la durée. Notre mission est simple :

  • Donner de la visibilité aux sportives,
  • Faciliter leur financement grâce au crowdfunding et aux abonnements,
  • Créer une communauté engagée autour du sport féminin.

Avec un lancement prévu en décembre 2025, l’application Sheplayzz se positionne comme un acteur pionnier au service des sportives, des clubs et de leurs supporters.

Bordeaux, nouvelle place forte du sport féminin

Le sport féminin prend une nouvelle dimension à Bordeaux. Ce mercredi 1er octobre, cinq clubs féminins de haut niveau se sont réunis pour un Media Day inédit, marquant une étape clé dans la visibilité des sportives de la métropole. L’événement a mis en lumière les ambitions, les réussites mais aussi les difficultés rencontrées par ces équipes qui font rayonner le sport féminin en Nouvelle-Aquitaine.

Un Media Day pour unir les clubs et renforcer la visibilité

Organisée sous l’impulsion du collectif TogetHer et soutenue par Sheplayzz, la conférence de presse a rassemblé des clubs emblématiques :

  • Les Boxers de Bordeaux (hockey sur glace),
  • Les Burdis (volley-ball),
  • Les Lionnes (rugby),
  • Les Louves (basket-ball),
  • Le club de Water-polo USB.

L’objectif était clair : donner un coup de projecteur au sport féminin bordelais, créer des passerelles entre les disciplines et offrir aux médias locaux un accès privilégié aux sportives et à leurs histoires.

Bordeaux, un territoire dynamique pour le sport féminin

Avec plus de 39 % de licenciées sportives en Nouvelle-Aquitaine, Bordeaux s’impose comme une région motrice dans le développement du sport féminin. Pourtant, les difficultés persistent : manque de financements, déplacements coûteux, infrastructures limitées, ou encore inégalités de moyens par rapport aux équipes masculines.

Malgré cela, les sportives bordelaises affichent des ambitions fortes. « Nous avons autant de palmarès que les hommes, mais pas les mêmes moyens, ni les mêmes investissements », a rappelé une dirigeante lors de la conférence.

Des retombées médiatiques encourageantes

La presse a répondu présente, avec une page entière dans Sud Ouest, des interviews sur ICI Gironde et des relais sur d’autres médias régionaux. Les réseaux sociaux, notamment LinkedIn, ont aussi largement amplifié la visibilité des clubs grâce au photocall et aux contenus partagés.

Ces résultats confirment qu’un événement centré sur le sport féminin intéresse et mobilise. C’est aussi une preuve supplémentaire que la médiatisation est un levier puissant pour attirer des sponsors et créer un écosystème durable autour des sportives.

Sheplayzz, la plateforme qui accélère le mouvement

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  • Donner de la visibilité aux sportives,
  • Faciliter leur financement grâce au crowdfunding et aux abonnements,
  • Créer une communauté engagée autour du sport féminin.

Avec un lancement prévu en décembre 2025, l’application Sheplayzz se positionne comme un acteur pionnier au service des sportives, des clubs et de leurs supporters.